« À quatre pattes » sculpture réalisée au Centre de Vacances de l’EDF à Morillon en 2000
et montrée au public polonais, la première fois à l’exposition sous le titre « Sexxx » au « Théâtre Academia » Varsovie 2000.
© Elżbieta Dembińska-Cieślar
« A quatre pattes, la fille aux cheveux de jais dit : la première des neuf positions s’appelle le Dragon Changeant (…) la deuxième s’appelle le Pas du Tigre. La femme se met sur ses genoux et ses mains, fesses levées, tête basse. L’homme s’agenouille derrière elle et l’enlace par le milieu du corps. Alors, il enfonce la Tige de Jade dans le centre.
Il importe beaucoup de la faire pénétrer profondément et de faire des mouvements qui se succèdent rapidement en séparant de cinq coups brefs la huitaine de coups pénétrants et profonds.Le vagin de la femme, ainsi traité, émettra du liquide en abondance comme la pluie printanière. Dès que la femme atteint son orgasme, l’homme attendra un certain temps avant de trouver sa jouissance. Les sept autres positions se nomment : l’Attaque du Singe, la Cigale bien attachée, la Tortue qui monte, le Phénix voltigeant, le Lapin qui lèche son poil, les Écailles de poisson imbriquées, les Crânes aux cous joints.»
Robert Van Gulik, La Vie sexuelle en Chine ancienne
SUR LE MÊME THÈME
Laisser un commentaire