Élisabeth et Émile Cieslar – travaux communs 1968-2018
Emile et Elisabeth Cieslar sont deux artistes franco – polonais. Après obtentions des diplômes à Ecole de Beaux Arts de Varsovie, dès le début Élisabeth et Émile Cieslar travaillent comme co-auteurs.
1973 / 1978 –Élisabeth et Émile ensemble dirigent la Galerie Repassage qui est leur œuvre principale en Pologne ( voir la page)
La Galerie Repassages – espace de liberté totale pour les expositions artistique.
La Galerie Repassage est située au centre de la ville sur le boulevard de Krakowskie Przedmiescie, à proximité de l’Université de Varsovie et presque en face de l’Ecole de Beaux Arts. Sous leur direction la Galerie a pu montrer plus de 70 artistes polonais et et européens.
1968 – « Les points » – Leurs premières expositions ont lieu en 1968 dont « Les Points » à la galerie Foksal. « Tout de suite après les études, les questions s’imposaient: Que vois-je ? Qu’est-ce que cela signifie ? Il fallait définir la perception de l’élément primaire de la forme » (voir la page)
La prise de direction de la Galerie « Repassage » par Élisabeth Cieslar à Varsovie en 1973 permet aux Cieslar de présenter aussi leurs œuvres parmi 114 expositions sous leur direction. L’exposition de Galerie Repassage à la Galerie d’État Zaheta – Varsovie a été une reconnaissance du travaille exécuté dans les années soixante dix. (Voir la page)
1970 – Labyrinthe – La photo de première installation de la voile de gaz sur la plage de la Vistule à Varsovie. (voir la page)
1970 – Labyrinthe – Au bois à Miedzylesie à la périphérie éloignée de Varsovie, en proximité de notre demeure, dans le parfum de la forêt et la chaleur de l’été, entre les branches des arbres nous avons suspendu des voiles. Grâce au vent les branches des arbres bruissaient tendis que les voiles bougeaient sans bruit. (voir la page)
1972 – « Kaléidoscope où regarder dans le tube » – Galerie ”0” 1972 (puis Repassage), reconstruction 2000 dans l’espace du théâtre « Collectif 12 » à Mantes La Jolie. « En regardant les maquettes abstraites et les symboles, par le biais de tubes contenant des miroirs courbes, chacun peut choisir ou créer ses propres images. » (voir la page)
1972 – « Vêtements à partir d’un patron de couture » – Galerie “0” – Dans l’espace de la galerie, 16 modèles de vêtements dessinés sur une feuille de patron ont été fabriqués en papier kraft. De ce fait, libérés de leur signification esthétique…(voir la page)
1973 – « Éléphant » – Galerie Repassage1973 (En collection du Musée de l’École des Beaux-Arts de Varsovie) « Sculpture monumentale d’une tête d’éléphant réalisée en carton rose. L’éléphant se définit par différentes dimensions : 1 – En patron de couture pour la peau de la tête; 2 – En bristol rose en volume « cousu» avec des épingles. (Voir la page)
1974 avril – « Camera obscure » Nous avons utilisé le principe de la chambre obscure pour la projection sur les murs et plafond de Galerie Repassage, la réalité du boulevard de Krakowske Przedmiescie. (voir page)
1975 – février – « La collection de chaussures usées » – La Collection a été mise à la disposition du public de la galerie Repassage pour échanger des chaussures. Chaque paire était accompagnée du nom de son ancien utilisateur. A la suite de ce troc, les noms changeaient. (voire page)
1974-78 – « Carrousel des attitudes »
Une série d’actions adressées principalement au milieu artistique. (Voir la page)
1977 « Dobrze-Stanczyk », décembre Le diptyque performance à caractère politique. (voir la page)et aussi(voir la page)
1978 – février – Les Cieslar s’expatrient en France et habitent dans la région parisienne. Ils interviennent dans la vie culturelle de cette ville par quelques interventions et performances (voir la suite).
Le 07 juin 1979 – « Le cercueil de Malevich ». Élisabeth et Émile font parler d’eux par leur intervention au Centre Georges Pompidou en particulier lors de l’exposition Paris – Moscou par leur action « Le cercueil de Malevich » réalisé par eux. Ce cercueil précédé d’une copie du tableau de Malevitch « Carré blanc sur fond noir » au dos duquel est écrit : « Ci gît l’avant-garde russe assassinée par le socialisme soviétique » fut porté à bout de bras par des dissidents russes et des intellectuels français au Centre Beaubourg à Paris et déposé devant La Tour de Tatlin. (Voir la page)
1980 juillet – « La paix olympique »– Intervention devant le Centre Georges Pompidou lors des Jeux Olympiques de Moscou. Pour soutenir l’Afghanistan, nous avons joué la pantomime. (Voir la page)
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